Les entreprises sont promues par des étudiants ambassadeurs !

Charleville-Mézières ont présenté chez ALLIANZ, le 23 mai 2013, la SCIERIE BARET, qui a reçu le 2^ème prix des challenges dans la catégorie « Pérennisation de l’entreprise ».

Concept original, les challenges de jeunesse et Entreprises, donnent aux étudiants de section commerciale, d’IUT, d’école de commerce, de BTS l’occasion d’établir un contact privilégié avec un entrepreneur qui leur fait découvrir son activité, ses succès, ses difficultés et le plaisir d’exercer son métier. Ce sont les étudiants qui travaillent à la promotion de l’entreprise pour concourir dans 7 domaines.

Jean SOMNARD, (AJE Champagne-Ardenne) a remis le trophée à Jean Louis Moussu, chef d’entreprise entouré de Alexis Carpentier, David Hudreaux, Charles Nihotte, étudiants et de Isabelle Balland, enseignante, tutrice du projet.  

A remarquer : Le lycée BAZIN  de l’académie de Reims a concouru avec 13 IUT, 1 école de commerce, seul lycée à être distingué ! Les prix ont été remis en présence de Yvon GATTAZ, président-créateur de Jeunesse et entreprises.

Sur le stand chez Allianz, Alexis Carpentier, David Hudreaux, JP Andretto, Isabelle Baland et. JL Moussu.  

Entreprendre pour apprendre, tel est le slogan de 24 élèves de 3e du collège de Dormans, solidaires dans la mini-entreprise Akapucho, qui consiste à rendre les collégiens en véritable situation d'entrepreneurs, avec des idées à développer, un projet à concrétiser, des partenaires à contacter, du travail à effectuer trois heures chaque semaine, avant de voir naître en 2013 un livre de recettes de cuisine de nos grands-mères au slogan tout trouvé : « fini le surgelé, on cuisine chez mémé », porteur du titre de « Mamie Book ».
Dès septembre, tous se sont concertés entourés de trois de leurs professeurs, Mmes Gobron et Noël et M. Rugolotto.
Vendredi soir, le lancement d'Akapucho était officiel, avec les collégiens et partenaires actionnaires, réunis en assemblée générale au collège.
Thomas Brahim le Pdg, a présenté l'entreprise, expliquant les rôles de chacun, puis a laissé ensuite la place aux différents responsables des services.
Pour Akapucho, 125 actions à 4 euros pièce ont été éditées, pratiquement toutes vendues avant et lors de l'assemblée. Pour l'heure, les jeunes attendent notamment le devis de l'imprimeur, peaufinant les détails, changement de couleur pour les textes auxquels seront associés des photos, car les mamies ne sont pas virtuelles, chacun ayant déjà interrogé la sienne ou une voisine et tous iront bientôt à la rencontre des pensionnaires des Jardins de Cybelle d'Oeuilly, quêter les souvenirs culinaires de ces dames.
Pour la première année, des jeunes de 3e Segpa seront associés à ce projet, réalisant les photos de l'élève près de sa cuisinière en train de réaliser les plats avant de les immortaliser. Tous les supports trouveront ensuite place dans le livre.
Il y en aura pour tous les goûts : du salé, du sucré, de l'entrée au dessert, le panel sera le plus large possible, avec des commentaires et index.
La taille de l'ouvrage à la couverture cartonnée et plastifiée sera variable, cela dépendra des recettes glanées.
Les collégiens auront à cœur de participer aux championnats des mini-entreprises prévus au printemps prochain, qui regroupera les jeunes de l'Académie.
Pour la quatrième année, l'entreprise remporte donc l'adhésion générale dès son lancement. Il y a eu les bijoux en matériaux recyclés, les sacs écologiques avec des briques de liquide, la clé USB dans un bouchon. Cette année ne devrait pas donc déroger à la règle du succès.
Pour contacter la DP3, une adresse internet est disponible : akapucho3@laposte.net ou au numéro de téléphone du collège 03.26.58.21.99.

Après une semaine intensive de fabrication avec les élèves de 2de et 1^ère Bac Professionnel « Technicien en Chaudronnerie Industrielle» et leurs professeurs, vendredi 21 décembre à 15 H dans l’atelier de Chaudronnerie du lycée professionnel a eu lieu la réception des travaux de la charpente métallique du bâtiment de transformation et de stockage  agricole pour la banlieue de DAKAR. 

Rudy CHIMIAK, le chef de travaux du lycée François remerciait les partenaires présents, monsieur Jacques MANKA et monsieur Yannick DELILLE respectivement PDG et Directeur de la société  TIDEST-JOUBERT de Thieblemont pour leur don et citait le partenariat avec la société GIBEAUX de Vavray le Grand qui devait être représenté par Monsieur MARTIN, mais retenu dans son entreprise.

Monsieur Philippe HANEN, Proviseur commentait la réussite et le travail remarquable  des professeurs et des élèves pour ce projet humanitaire  de grande envergure.  A la fin de la semaine, l’escalier métallique et de terrasse sont terminés.

Monsieur Fabrice BINET président de l’association ATPDM (Accompagnement Technique  Pour un Développement Mutuel) et chef de travaux au lycée ARAGO de Reims  invité pour l’occasion  a tenu à féliciter les élèves pour leur engagement et leur travail. Malgré les 4000 kilomètres qui nous séparent,  Monsieur BINET soulignait,  la réussite de cette chaine de solidarité émergente dans l’académie pour l’amélioration des conditions  de vie et de travail des  femmes à DAKAR. Le président explique que le local ainsi construit à partir de 2 containers sera aménagé pour y vivre et pour y travailler dans le domaine agricole comme  la transformation et le séchage de  l’arachide.

Monsieur MANKA faisait état de son agréable surprise quant à la qualité, l’important des travaux réalisés  et l’exploitation de tant d’équipement  dans l’atelier, en ressentant une réelle motivation collective pour ce grand projet et  y voyant le signe très prometteur d’’une futur promotion de jeunes professionnels.  

Dans une salle de cours aménagée spécialement étaient exposés des photos et les plans de la réalisation.

La cérémonie s’est terminée par une visite de l’atelier,  la découverte de fabrication et une séance « photos » pour immortaliser l’instant. 

Lien vers l'article

YANNICK Discrit, proviseur du lycée Jean-Baptiste Clément, spécialisé dans les métiers de l'automobile et de l'industrie, était fier d'accueillir les représentants du groupe PSA jeudi matin pour valoriser l'engagement qui lie les deux partenaires. Les relations avec l'Éducation nationale et le monde de l'entreprise sont « étroites et fructueuses », rappelait le proviseur.
Ce dispositif d'adaptation à l'emploi marque la volonté de l'établissement à former et à qualifier tous ses pensionnaires, qu'ils soient lycéens, apprentis, étudiants ou adultes en formation, mais aussi de les accompagner jusqu'à leur insertion professionnelle.
Du chef de travaux, François Pilla, aux enseignants engagés dans le dispositif, tout le monde entend donc assurer la réussite des apprenants et s'appuie pour cela sur du matériel toujours à la pointe.
L'occasion était donnée au proviseur de saluer le groupe PSA qui apporte sa contribution pour renouveler le parc auto du lycée mais aussi les sous-ensembles de moteurs, les éléments de carrosserie, etc.
Avant que toute l'assemblée, composée des différents acteurs de ce partenariat, ne prenne la direction des ateliers du lycée pour visualiser concrètement les opérations autour de la 205 Rallye qui fait l'objet d'un travail pédagogique important, le dispositif a été détaillé.
Un dispositif qui s'ouvre donc à une dizaine d'élèves (600 élèves pour environ 60 établissements dans toute la France), qui, une fois leur diplôme obtenu, deviendront technicien Peugeot ou Citroën.

Gagnant-gagnant

Dans la pratique, ce dispositif accompagne la formation tout au long des trois années du baccalauréat professionnel maintenance des véhicules automobile.
Au total, en plus des 16 semaines classiques de la formation en 1re et terminale, les élèves qui ont intégré le dispositif ont huit semaines de stage supplémentaires, prises sur leur temps de vacances. À noter que l'élève est gratifié d'environ 30 % du Smic.
En plus de cela, 24 heures de cours de communication leur sont dispensées chaque année. Enfin, 40 heures chaque année sont spécifiquement dédiées aux attentes du réseau PSA.
Les statistiques de ce dispositif sont probantes. 90 % des élèves concernés obtiennent leur diplôme, dont 70 % avec une mention qui leur permet de continuer leur cursus de formation s'ils le souhaitent.
Un dispositif bénéfique tant pour l'élève que pour le professionnel qui l'intègre dans sa concession ou son garage. Les jeunes démontrent une grande volonté de réussite dans ce métier.